La question de la préservation de la langue française est devenue leitmotiv dans bon nombre de débats, échanges politiques ou simples discussions.

La croix des bretons
La question de la préservation de la langue française est devenue leitmotiv dans bon nombre de débats, échanges politiques ou simples discussions.
Saint Guénolé, fondateur du Monastère de Landévennec est, des plus grands abbés bretons, l’un des plus populaires et des plus connus, même en dehors de la Bretagne.
Meulomp, meulomp, Bretoned, meulomp an Tad Maner, Meulomp mignon Mamm Doue ha mignon hon Salver.
Si les premières vagues d’évangélisateurs aux V° et VI°Siècles ont forgé les premières bases de la Bretagne catholique, menées par de grands Saints comme Saint Gildas, Saint Corentin ou encore Saint Patern, la Bretagne connu à la fin du XVI° et début du XVII°Siècle deux grands évangélisateurs : le premier fut le Vénérable Michel Le Nobletz (1577-1652) et surtout le Bienheureux Julien Maunoir, « Tad Maner », figure majeure du catholicisme breton du XVII°Siècle.
M’hoc’h ador, Doue, va c’hrouer,
M’hoc’h ador, Jezuz, va Zalver;
Ar béd a-béz a gan ho kloar :
Si la figure du prêtre breton au courage exemplaire a magnifiquement été incarnée par l’Abbé Perrot au début du XX°Siècle, celle du prêtre breton poète, philosophe et penseur trouve un écho tout particulier dans la figure de l’Abbé Louis Augustin Le Floc’h, Loeiz ar Floc’h, « Maodez Glanndour ».
Comme Saint Corentin l’est, de Cornouailles, Saint Pol est le grand saint du Léon. La Révolution française a bien pu supprimer le siège épiscopal créé par lui, la ville de Saint-Pol conserve, avec la belle cathédrale qui s’éleva sur les ruines de l’ancienne, le souvenir, toujours vivant, de son saint Fondateur.
Nous poursuivons notre série d’articles sur les Saints Fondateurs de la Bretagne, par la figure particulière de Saint Tugdual, fondateur du Diocèse de Tréguier. Cet extrait sur la vie de Saint Tugdual est issu de l’ouvrage « La Jeunesse Bretonne sur les pas de ses Saints », écrit en 1936 par Marthe Le Berre.
Adorom oll e sakramant an Aoter, Doue kuzet, Jezuz, or Mestr, or Zalver. Sperejou evuruz, Elez ar Baradoz,
C’est un point récurrent dans les débats politiques : Nantes, aujourd’hui chef-lieu du département de la Loire-Atlantique et de la région Pays de la Loire, est-elle bretonne ? En se basant uniquement sur des faits historiques, la réponse est sans appel : bretonne depuis la Bataille de Jengland de 851 et le Traité d’Angers signé …