Enracinement et Mission
Bretons dans la Cité

Enracinement, Tradition et Mission

Le nouveau Synode qui vient de s’ouvrir les 9-10 Octobre à Rome, s’ancre sur trois mots principaux, résumés dans l’annonce « Pour une Église synodale : communion, participation et mission ». Dans un monde en constante mutation, où la technologie et les moyens de communication évoluent constamment, travailler à optimiser l’efficacité de la diffusion du message catholique peut paraître tout à fait pertinent et adéquat. Toutefois, pour pouvoir rester dans le monde sans devenir du monde, l’écueil du Modernisme – tel que notamment défini par Saint Pie X dans Pascendi Domini Regis – reste également d’actualité. Si l’on n’y prend pas garde, la nécessaire adaptation de la communication du message catholique peut facilement glisser vers un souhait d’une évolution plus profonde, plus dangereuse qui irait même jusqu’à remettre en cause les fondements de notre Foi, à commencer par les dogmes et enseignements :

« Evoluer et changer, non seulement le dogme le peut, il le doit: c’est ce que les modernistes affirment hautement et qui d’ailleurs découle manifestement de leurs principes. Les formules religieuses, en effet, pour être véritablement religieuses, non de simples spéculations théologiques, doivent être vivantes, et de la vie même du sentiment religieux; ceci est une doctrine capitale dans leur système, et déduite du principe de l’immanence vitale. »1

Et dans notre société française, combien de journalistes et autres médias prétendument catholiques s’attaquent continuellement aux dogmes de notre Foi, à commencer par la Transsubstantiation (Concile de Trente) ou encore l’infaillibilité pontificale (Concile Vatican I) ? Combien de catholiques se perdent en frénésie moderniste en oubliant que « la liturgie est le sommet auquel tend l’action de l’Église et en même temps la source d’où découle toute sa vertu »2 ? Combien de ces médias dits catholiques s’opposent aujourd’hui aux enseignements de la lettre apostolique Ordinatio Sacerdotalis (Saint Jean Paul II) qui rappelait « que l’Église n’a en aucune manière le pouvoir de conférer l’ordination sacerdotale à des femmes et que cette position devait être définitivement tenue par tous les fidèles de l’Église » ?

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