Après la première guerre mondiale, Beg Meil connaissait une réelle activité touristique, la population estivale y était plus importante que celle du bourg.

La croix des bretons
Après la première guerre mondiale, Beg Meil connaissait une réelle activité touristique, la population estivale y était plus importante que celle du bourg.
Sise sur un promontoire rocheux dominant le Scorff, la chapelle Sainte Anne jouxte un ancien camp de l’âge de fer (II°Siècle avant JC) transformé en maison forte au Moyen-Âge (XIV°Siècle). L’édifice, visiblement érigé ici comme dans plusieurs paroisses du diocèse au XVII°Siècle.
La chapelle Notre Dame de Crénénan surplombe les environs avec son haut clocher.
La chapelle Saint-Gobrien, datée de la fin du XIVème siècle, a été remaniée au XVIème siècle et est située au Nord du bourg de Camors, près de la route de Baud. Le clocheton, recouvert d’ardoises, possède une croix en fer forgé.
C’est l’une des plus remarquables chapelles du Finistère, et serait une ancienne chapelle des Templiers ; sa sacristie porte d’ailleurs le surnom de « Chambre des moines rouges », allusion à la couleur de la croix des Templiers.
Molvan (IVè siècle). Cette petite chapelle a été apparemment rebâtie en 1693, comme en témoigne la date sur le fronton. Le tombeau du saint patron se trouve dans le pavé, au milieu de la nef.
La chapelle est édifiée en forme de croix latine. La longue nef se termine sur le chevet carré. La date de 1423 inscrite à l’intérieur du porche indique l’année de sa construction. Le clocher érigé au XVIIe siècle est remarquable par ses clochetons. La sacristie du XVIIIe siècle (1719) a été construite dans l’axe de la chapelle.
yle néo-gothique non orienté. La façade est (principale) en pierre de taille s’ouvre d’une porte en arc brisé surmontée d’une niche et d’un clocher carré ajouré.
Peu d’informations sont disponibles sur cette chapelle : « Il s’agit d’un édifice de plan rectangulaire assez rustique malgré la belle fenêtre du chœur à réseau flamboyant.
Une légende attribue cette chapelle à l’ermite Saint Julien. Habitué à prier dans le bois de Ti Meur du haut d’un chaos rocheux (celui-ci conserve toujours la trace de ses genoux), il lança une pierre qui tomba à 500 mètres de là. On y édifia une chapelle et une fontaine (XVII°Siècle).