Né un 6 Janvier au milieu du V°Siècle près de Platz (actuelle Brain-sur-Vilaine), Saint Melaine serait fils d’un riche propriétaire gallo-romain. Ses parents, d’une grande piété, lui donnèrent une grande instruction et une belle Foi

La croix des bretons
Né un 6 Janvier au milieu du V°Siècle près de Platz (actuelle Brain-sur-Vilaine), Saint Melaine serait fils d’un riche propriétaire gallo-romain. Ses parents, d’une grande piété, lui donnèrent une grande instruction et une belle Foi
Cet article est tiré de notre numéro 17 – Saints et Saintes de Bretagne, via notre boutique. Dans l’histoire des graveurs bretons, Xavier Haas reste l’un des noms les plus connus du renouveau du XX°Siècle, à la suite de Xavier de Langlais et Jeanne Malivel. Né à Paris le 25 Septembre 1907, Xavier Haas perd rapidement …
Compagnon de Saint Gildas, fondateur du Monastère de Saint Gildas de Rhuys, Saint Bieuzy (Sant Bihui) est né au cours du V°Siècle en Bretagne insulaire. Arrivé en Armorique vers la fin du V°Siècle, il remonta le Blavet (fleuve qui traverse les Côtes d’Armor et le Morbihan) pour fonder un premier ermitage près de l’ancienne commune de Castennec (aujourd’hui rattachée à Pluméliau). L’ermitage, devenu oratoire quelques temps plus tard, vit l’arrivée de plusieurs habitants qui formèrent les premières bases de la ville de Bieuzy.
La question de l’Intercession des Saints, c’est-à-dire la demande spécifique d’intervention d’un Saint en faveur de notre prière, reste assez complexe pour bon nombre de nos contemporains.
De tous les saints protecteurs du bétail qui existent en Bretagne, Saint Cornély (Corneille) est probablement l’un des plus connus, aux côtés de Saint Eloi ou Saint Herbot, et plus spécifiquement encore dans le Sud de la Bretagne.
La question de la préservation de la langue française est devenue leitmotiv dans bon nombre de débats, échanges politiques ou simples discussions.
Saint Guénolé, fondateur du Monastère de Landévennec est, des plus grands abbés bretons, l’un des plus populaires et des plus connus, même en dehors de la Bretagne.
Meulomp, meulomp, Bretoned, meulomp an Tad Maner, Meulomp mignon Mamm Doue ha mignon hon Salver.
Si les premières vagues d’évangélisateurs aux V° et VI°Siècles ont forgé les premières bases de la Bretagne catholique, menées par de grands Saints comme Saint Gildas, Saint Corentin ou encore Saint Patern, la Bretagne connu à la fin du XVI° et début du XVII°Siècle deux grands évangélisateurs : le premier fut le Vénérable Michel Le Nobletz (1577-1652) et surtout le Bienheureux Julien Maunoir, « Tad Maner », figure majeure du catholicisme breton du XVII°Siècle.
M’hoc’h ador, Doue, va c’hrouer,
M’hoc’h ador, Jezuz, va Zalver;
Ar béd a-béz a gan ho kloar :